Entrevista con Steve Wozniak

Steve Wozniak, co-founded Apple Computer Inc. (1976) and helped to shape the computing industry with his design of the Apple I and Apple II in the late 70s. He is also known as a Silicon Valley icon and philanthropist for the past three decades. For his achievements at Apple Computer, Wozniak was awarded the National Medal of Technology by the President of the United States in 1985, the highest honor bestowed on America’s leading innovators. In 2000, he was inducted into the Inventors Hall of Fame and was awarded the prestigious Heinz Award for Technology.

Steve Wozniak and Fernando Gutiérrez
Steve Wozniak and Fernando Gutiérrez

After leaving Apple in 1985, Wozniak was involved in various business and philanthropic ventures, focusing primarily on computer capabilities in schools and stressing hands-on learning and encouraging creativity for students. Making significant investments of both his time and resources in education, he “adopted” the Los Gatos School District, providing students and teachers with hands-on teaching and donations of state-of-the-art technology equipment.

Wozniak is one of the three people (Wozniak, Kapor, and one anonymous benefactor) who provided the initial money to found the Electronic Frontier Foundation. Created in 1990, EFF champions user privacy, free expression, and innovation through impact litigation, policy analysis, grassroots activism, and technology development. EFF work to ensure that rights and freedoms are enhanced and protected as our use of technology grows.

Wozniak is called one of “Silicon Valley’s most creative engineers,”. He believes in encouraging free thinking and creativity for youngsters, counsel them against forces of conformity.

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Participación en el programa de televisión de canal 11: Diálogos en confianza (Sociedad) – Insensibilidad ante la violencia

Comparto mi participación en el programa Diálogos en confianza (Sociedad) de Canal 11. El tema abordado fue insensibilidad ante la violencia. Conduce Fernanda Tapia, participan Luis Wertman, presidente del Consejo Ciudadano de la Ciudad de México; Víctor Ronquillo, escritor y periodista; y Fernando Gutiérrez, director del Departamento de Comunicación y Arte Digital del Tecnológico de Monterrey, Campus Estado de México.

Diálogos en confianza es un talk show donde los especialistas y el público generan un espacio de interacción rico en propuestas en el que se analizan, desde diferentes ópticas, diversos aspectos de interés de la vida diaria. La idea es generar, juntos, contenidos valiosos que permitan mejorar la calidad de vida de la sociedad, así como contribuir a la toma de decisiones importantes de manera fundamentada y, ante todo: ofrecer alternativas a diferentes problemáticas relacionadas con la salud, la familia, el saber vivir, la pareja y el ámbito social.

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La guerre des monopoles est déclarée sur le marché mexicain du « triple play »

Comparto una pequeña nota publicada en La Tribune sobre la Guerra de los monopolios en el sector de telecomunicaciones. En ésta el autor Frédéric Saliba consigna comentarios de un servidor.

La Tribune
Mardi 15 Mars 2011

La guerre des monopoles est déclarée sur le marché mexicain du « triple play »

AUTEUR: Par Frédéric Saliba, à Mexico

Le combat ne fait que commencer : d’un côté, l’homme le plus riche du monde, Carlos Slim, magnat mexicain des télécoms avec ses opérateurs Telmex et Telcel. De l’autre, Emilio Azcarraga et Ricardo Salinas Pliego, à la tête des deux plus grands groupes audiovisuels au Mexique, Télévisa et TV Azteca. Autrefois alliés, les trois milliardaires se battent aujourd’hui à couteaux tirés pour l’alléchant marché regroupant en une seule offre la téléphonie mobile de troisième génération, l’Internet et la télévision, le « triple play ». Les adversaires, qui s’accusent mutuellement de pratiques monopolistiques, ont déposé le 9 mars cinq plaintes auprès de la Commission mexicaine de la concurrence (CFC). La première émane d’un front commun de six entreprises de télécommunications et de télévision par câble, mené par Télévisa et TV Azteca, dénonçant les tarifs prohibitifs d’interconnections de Telmex et Telcel. Les deux joyaux de Carlos Slim contrôlent 80 % des lignes de téléphone fixe et 70 % des lignes sans fil.

Ses opérateurs ont, quant à eux, déposé quatre recours auprès de la CFC contre la main mise du duopole télévisuel sur 90 % de l’audimat en terre aztèque. Interêts mutuels« Derrière ces accusations, chacun veut empêcher l’autre de partir à la conquête du marché du triple Play », explique Fernando Gutierrez, professeur de communication à l’Université du Tec de Monterrey. D’un côté, le gouvernement empêche les sociétés de Carlos Slim de décrocher une concession télévisuelle. De l’autre, Télévisa et TV Azteca sont dépendants des infrastructures de Telmex et Telcel pour se renforcer dans la téléphonie. »En guise d’ultimatum, le conglomérat de Carlos Slim a retiré le mois dernier ses publicités de Télévisa et TV Azteca. Le manque à gagner pour ces chaines est estimé respectivement à 70,5 millions et 30 millions de dollars en 2011. « La faute au gouvernement qui ne joue pas son rôle d’arbitre face à des quasi-monopoles qui affectent la libre concurrence », explique Carlos Morera. Pour l’économiste à l’Université Autonome du Mexique (UNAM), cet affrontement ressemble à une tragédie grecque : « Au début des années 2000, le père d’Emilio Azcarraga, ami de Carlos Slim, lui avait demandé de sauver Télévisa de la faillite. Mais craignant de perdre le contrôle de son entreprise, son fils l’a ensuite écarté du capital. » Quelle sera l’issue de leur lutte de titans ? « Ils vont devoir tomber d’accord », répond Fernando Gutierrez. « Les entreprises de Slim ont besoin de diffuser leurs publicités à la télévision. Et Télévisa et TV Azteca ne peuvent pas pénétrer le marché du triple play sans les interconnexions de Telmex et Telcel. » Mais Carlos Morera ne partage pas cet avis : « Le poids lourd de ce match reste Carlos Slim, dont les avoirs représentent la moitié de la Bourse du Mexique ». Alors que le magazine « Forbes » évalue la fortune d’Emilio Azcarraga et Ricardo Salinas Pliego à respectivement 2,3 milliards et 8,2 milliards de dollars, celle de Carlos Slim décolle à… 74 milliards de dollars ! La Commission de la concurrence doit rendre son verdict dans une quinzaine de jours.

Ricardo Salinas Pliego, president and chief executive officer of Grupo Salinas and Grupo Elektra, speaks during the Society of American Business and Writers Conference at Arizona State University in Phoenix, Arizona, U.S., on Friday, March 19, 2010. The conference host city is where SABEW’s Board of Governors voted in May to move the headquarters of the nation’s largest organization of business newspeople. Photographer: Joshua Lott/Bloomberg *** Local Caption *** Ricardo Salinas Pliego

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